Du jour au lendemain, Vincent est agressé à plusieurs reprises et sans raison par des gens qui tentent de le tuer. Son existence d’homme sans histoires en est bouleversée et, quand le phénomène s’amplifie, il n’a d’autre choix que de fuir et de changer son mode de vie.

« La force de cette dystopie fantastique, sans effets spéciaux, se trouve décuplée par son ancrage dans le réel. Archétype de la norme, Vincent va vers la marge pour rester en vie. C’est dans ces lisières qu’il rencontre une modeste serveuse, Margaux et, même sur le qui-vive, se réinvente auprès d’elle une humanité. «  La Croix

« L’une des forces du film réside dans la mutation du placide Karim Leklou en brute tout à la fois sauvage et dérisoire. «  Le Monde

« Pour la performance de Karim Leklou et pour la somme de ses nombreuses qualités, « Vincent doit mourir » mérite estime et louange. Grâce soit rendue à son exploration d’un ailleurs cinématographique foutraque, sensoriel et évocateur  » Mad Movies